Le 7 juin prochain, les français sont appelés à renouveler le parlement européen.
Il nous semble que dans la logique des choses, avant de voter, il faut établir un bilan non d'un mandat, car le parlement européen est un tel mammouth, que le bilan doit se limiter à la situation économique.
N'évoquons pas la crise qui secoue la planète, car ce serait trop facile.
Evoquons les éléments de la compétence de la politique européenne et de la commission de Bruxelles.
Depuis le traité de Maastricht, "on" a eu de cesse de nous dire que "l'Europe" protégerait les européens des aléas de la vie et qu'ils seraient promis à un véritable eldorado grâce à l'abandon du franc pour une monnaie sans identité, mais unique en son genre, l'euro.
17 ans après, qu'en est-il?
D'abord, l'union européenne n'a nullement protégé les citoyens des conséquences dramatiques des délocalisations économiques sur l'autel de la mondialisation des marchés.
Ensuite, il faut en revenir aux fondamentaux du gaullisme, à savoir la préservation de l'identité nationale et l'association du capital et du travail.
Enfin, le seul gaulliste visible dans le paysage politique français présente une liste aux élections sous le nom de "Debout la République" et le slogan "Osons changer".
Ce gaulliste de conviction, contrairement aux autres gaullistes de circonstance ou d'opérette, s'appelle Nicolas DUPONT-AIGNAN.
Il a toute notre confiance pour le 7 juin.